Centre de Ressources Historiques
 


     
                     
                     
Numix
fonds Gay-LussacAcides de la galle
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une liq. [liqueur] brune très foncée, qui ne contient plus de fer. Cette liq. [ liqueur] évaporée à une douce chaleur, laisse un résidu fendillé qui redissout, donne une qui à l’évap. [évaporation] spontanée, forment des cristaux transparens incolores que l’on sépare d’une matière brune par l’alcool.

La disson alcoolique brune ne contient plus de fer. Elle donne, évaporée, un résidu qui dissout dans l’eau la rend aigre et astringente et très brune. elle contient de l’U et une matière tannante qui pte abondt [précipite abondamment] la colle de poisson.

 

Le sulfate de fer protoxidé donne avec la disson [dissolution] d’a.pyrogalliq.[acide pyrogallique] une couleur d’un bleu noirâtre. Si dans la dissolution aqueuse du même acide, on n’ajoute que très peu de sulfate de fer peroxidé, pour ne décomposer qu’une partie de l’acide, et qu’on abandonne le mélange à lui même, le sulfate protoxidé qui se produit y détermine une couleur bleuâtre.

a.pyrogalliq. [acide pyrogallique] réduit instt [instantanément] le nitrate d’argent et celui de mercure protoxidé.

a.gallique [acide gallique] n’est pas troublé par le nitrate d’argent ce n’est que quelques temps après qu’elle brunit et dépose de l’argent

il pte [précipite] le nitrate de mercure en jaune orangé qui passe peu à peu au vert sale

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