le
fer
et
le
plomb
et
retenir
le
palladium
en
dissolution.
La
liqueur
est
filtrée,
et
le
palladium
en
est
précipité
à
l'état
de
sel
triple
par
l'acide
muriatique
dont
un
léger
excès
est
nécessaire
pour
retenir
le
cuivre
en
dissolution.
Quand
le
sel
est
lavé,
il
suffit
de
le
chauffer
pendant
quelque
temps,
au
rouge
obscur,
pour
avoir
le
palladium
en
mousse
qui
peut
être
travaillé
comme
celle
du
platine.
Il
reste
encore
un
peu
de
sel
de
triple
avec
le
cuivre,
on
l'obtient
en
faisant
concentrer
la
dissolution.
Cette
manière
de
travailler
est
couteuse
;
mais
connaissant
les
matières
qui
altèrent
le
palladium,
on
en
trouvera,
sans
doute,
une
meilleure.
Agrées,
mon
cher
confrère,
l'assurance
de
ces
[...]
observations,
et
de
la
sincère
[...]
avec
lesquelle
j'ai
l'honneur
d'êtr,
votre
très
humbre
et
obéissant
serviteur.
Vauquelin.
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