Centre de Ressources Historiques
 


     
                     
                     
Numix
fonds Gay-LussacM Végét[aux]
|<       <      Page 86      >      >|

d'eau que les autres gaz où l'hydrogène tient d'autres combustibles en dissolution.

 

C'est de cette eau qui proviendrait la décomposition de l'ammoniaque en gaz soit dans un tube de porcelaine rouge, soit par des décharges répétées d'électricité. Dans ces deux opération, cette eau serait décomposée, son oxygène convertirait le nitrogène son oxyde au premier degré, c'est-à-dire en azote, et quant à l'hydrogène qu'on trouve alors mêlé à ce dernier gaz, il viendrait en partie de celui qui tenait le nitrogène en dissolution, et en partie de la décomposition de l'eau.

 

Lorsqu'on mettrait le gaz ammoniacal et contact avec le potasse, ce métal absorberait le nitrogène pour former un alliage avec lui, et l'hydrogène serait mis à nu précisément comme il arrive aux gaz hydrogènes

© SABIX / Bibliotheque de l'Ecole polytechnique, 2007-2009 | ICEberg 4.1 (CNRS-CN2SV)