Centre de Ressources Historiques
 


     
                     
                     
Numix
fonds Gay-LussacCalorique
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Fahrenheit de Dantzig. Il faisait du verre à vitre. En 1714, il fit des thermomètres à esprit de vin comparables son 0 était le plus grand froid vu à Dantzid, il l'obtenait avec part égales de sel ammoniaque ou de sel, et de neige.

Chaleur de l'homme = 92.

Bientôt, il prit le mercure, ce que Halley avait déjà fait en 1680.

Le mercure à son 0 = 11124, au notre il l'était dilaté de 32, à l'eau bouillante de 212, et de 600 à l'ébullition du mercure = 315.5°.

Réaumur en 1730. Esprit de vin enflammant la poudre et 1/5 d'eau. La boule = 1000. Le tube divisé en millièmes. Eau le gelant et eau bouillante. L'alcool se dilatait de 80 p. depuis 0 jusqu'à eau bouillante.

Mais c'est de lui qui en France a substitué le mercure à l'esprit de vin et qui a fait voir qu'il valait beaucoup mieux. Nous reviendrons sur ce sujet.

Delisle en 1733. Son 0 à l'eau bouillante. Le volume du mercure = 10000 et il se contracte de 150 jusqu'à notre [...]. Il n'avait que l'eau bouillante pour terme fixe.

Celsius en 1742 divise en 100 p. égales l'espace compris entre la glace fond et l'eau bouillante. Mais avant lui, Christin à Lyon avait fait la même chose.

Cavendisk en 1777 emploie la vapeur. Quant aux thermomètres métallique, je n'en parle plus. Dans les thermomètres formés par des liquides, ce n'est que la différence de dilatation du verre et du liquide.

 

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