proportionnelles aux différences des températures de l'air et du corps.
Par exemple, si un corps à 100° perd dans la 1ère 1'' 10° ou le 10ème de sa chaleur, il perdra 5° lorsque sa température sera 50°.
C'est-à-dire qu'à une époque quelconque de son refroidissement, il perd constamment en 1'' une quantité de chaleur dont le rapport avec celle qu'il a est constant.
Richman a vérifié cette supposition et il a énoncé la loi en disant que pendant que les températures sont en progression arithmétique, les refroidissements sont en progression géométrique.
1 : n-1/n ; (n-1/n)2 ; (n-1/n)3 ; (n-1/n)9 = chaleur restante
les pertes 1/n { 1 (n-1/n) (n-1/n)2 (n-1/n)3 (n-1/n)9
Expérience [voir dessin sur l'original]
100... 1/10
90
81
72.9
65.61
59.049
Mais la loi n'est vraie que pour des différences de températures peu élevées. Dr Martin, Erxleben l'ont reconnu depuis longtemps.
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