permanente de chaleur ; le végétal est subordonné à la température, au retour périodique des saisons. Le poumon est un organe secréteur de la matière combustible qui brulera au contact de l’air et entretiendra la chaleur animale. L’acide carbonique est un produit postérieur étranger aux phénomènes de la sécrétion. L’acide carboniq [carbonique] serait donc produit non dans le sang, mais pendant la circulation, mais à la surface même du poumon.

On peut mieux dire sans l’air, il n’y a réellement pas de secrétion ; car supprimez le et le sang reste veineux. Ainsi la secrétion n’est réellement complette qu’à la faveur de l’air qui peut enlever la matière inutile.

Les autres secrétions auraient elles de l’analogie avec celle du poumon ; par exemple celle du foie ? Je ne vois d’autre cause générale qu’une action galvanique en vertu de laquelle ce qui est Elect. + va d’un côté et ce qui est Elect. – va de l’autre. mais il faudrait pour cela une disson [dissolution] d’organes particulière qui nous est tout-à-fait inconnue.

13 p.c. a.carb. [acide carbonique] pour 5 liv. Saug

2,6 par livre = 25 P.C.

Ce serait donc sensiblt [sensiblement] 10%

Magnus admet 1/5 ou 20% quantité qui, il lui semble, peut bien fournir 2,5 d’A.C. [acide carbonique]