antimoine
Les
oxides
Berz.
86.
225.
il
admet
4
oxides
1°
celui
qu’on
obtient
en
laissant
longtems
le
métal
à
un
air
humide,
ou
en
terminant
le
fil
positif
de
platine
par
la
poudre
d’antim.
[antimoine]
on
sépare
l’oxide
du
métal
par
la
lévigation.
Il
donne
l’hydrog.
[hydrogène]
avec
l’
.
2°
oxidule,
en
pptant
[précipitant]
le
mte
d’ant
[muriate
d’antimoine]
par
un
alcali
desséché
il
est
blanc
tirant
sur
le
gris
_
fusible
en
un
liq
[liquide]
jaunâtre
qui
devient
blanche
par
le
refroidissement
avec
l’apparence
de
l’asbeste.
L’a.nitrique
[acide
nitrique]
en
dissolvant
l’antim
[antimoine]
ne
le
fait
pas
passer
à
un
autre
oxidation
plus
forte
que
dans
le
muriate.
En
distillant
du
mercure
doux
avec
de
l’antim.
[antimoine],
100
de
métal
ont
pris
19,35
et
19,68.
par
l’analyse
du
sulfure
qu’il
a
déterminé
l’oxidation
il
n’a
pas
obtenu
un
résultat
très
satisfaisant
100
d’antim.
[antimoine]
ont
donné
137,3
de
sulfure.
3°
oxide
d’ant.
[antimoine]
blanc
en
traitant
l’antim
[antimoine]
par
l’L
et
évap.
[évaporation]
à
siccité,
100
métal
ont
pris
de
125,8
à
127,8
d’_
En
traitant
par
l’eau
régale
et
pptant
[précipitant]
par
l’eau
puis
calcinant
dans
la
platine
100
sont
devenus
126,56.
(mais
cet
oxide
ne
contenoit-il
pas
de
l’
)
Berzelius
en
conclut
que
cet
oxide
contient
1
½
autant
d’_
que
l’oxidule.
il
ait
qu’en
fondant
est
oxide
avec
le
métal
l’oxide
prend
un
1/3
de
métal
de
plus
et
que
le
produit
fusible
est
une
combinaison
de
l’oxidule
avec
l’oxide
blanc
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