je
me
suis
servi
pour
la
1ère
fois
des
expressions
d'élémine
et
d'alouchine,
pour
désigner
la
matière
cristalline
de
la
résine
élémi
et
la
sous
résine
de
l'alouchi
;
ainsi
que
celle
d'hévéïne
et
de
copalline
pour
désigner
la
matière
insoluble
et
sous
résineuse
du
caoutchouc
et
de
la
copale.
M.
Daup
peut
vérifier
cette
citation
dans
le
Journal
de
pharmacie,
tome
X,
page
1ère.
Ainsi
que
la
note
de
M.
Pelletier
à
ce
sujet
et
ma
réponse
au
même
parge
120.
4.
Enfin,
l'examen
chimique
du
baume
du
Canada
de
l'abies
balsamea
présenté
à
l'Institut
(Académie
des
Sciences)
au
mois
de
novembre
1824.
Mémoire
dans
lequel
j'ai
reconnu
que
les
substances
résineuses
jouaient
avec
les
bases
le
rôle
d'acide
à
la
manière
des
corps
gras
de
M.
Chevreul.
Ce
mémoire
est
imprimé
dans
le
Journal
complémentaire
du
Dictionnaire
des
Sciences
médicales,
tome
XXII,
page
325.
J'ai
l'honneur
de
vous
adresser
le
seul
exemplaire
qui
me
reste.
5.
J'observerai
en
dernier
lieu
que
le
jour
même
où
je
présentais
le
mémoire
ci-dessus
à
l'Institut,
au
auteur
allemand
annonça
les
combinaisons
d'alcalis
caustiques
+
colophone
et
de
[...]
des
colophonates
:
et
que
M.
Dive,
pharmacien
à
Mont-de-Marsan,
envoya
à
l'Académie
royale
de
Médecine
le
17
décembre
dernier,
un
mémoire
intitulé
:
Expérience
sur
la
partie
soluble
de
la
résine
du
pin
maritime
considérée
comme
acide.
Telles
sont
les
preuves
les
plus
péremptoires
que
j'ai
à
opposer
à
l'opinion
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