a faites. Il m’a exposé en effet que son père avait 36 ans de service et qu’il aurait eu droit à une pension pour laquelle des retenues lui ont été faites depuis longtems, sans une mort prématurée ; que de plus il lui a donné des soins pendant sa maladie qui l’ont détourné de ses travaux et lui ont occasionné un préjudice réel. Ces motifs me paraissent justes et me déterminent à obtempérer à la prière que m’a faite le fils Biard.
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