veaux, et de cheval, ont une grannde étendue, on leur conserve alors une plus grande épaisseur ; et elles ne perdent que moitié de leur poids (après avoir été tannées) dans les divers apprêts qu'on leur donne, avant qu'elles reçoivent la teinture et le vernis, préparation qui les augmentent d'environ 1/10 d'après ce que nous avons dit précédemmemt.

On vernit très peu de chèvres et de moutons attendu que ces deux sortes de peaux sont creuses et reçoivent mal les apprêts.

Toutes ces peaux ne se vendent qu'à la douzaine, soit en croute, soit après avoir été vernies.

Aussi, par ces motifs, et surtout parce que ces fabrications ne donnent jamais à ces peaux les 1ères préparations, nous avons éprouvé beaucoup de difficultés et de désagréments pour nous procurer les renseignements et les détails contenus dans cet article.

Article 4. Des peaux mégies.

Peaux de moutons sèches sans laine... 100 kil.

Mégies en blanc pèseront... 40 à 45.