Iodures.

Boullay, Annale de physique, 34. 337.

Acide hydriodique dissout à chaud beaucoup d'iodure rouge de mercure ; par refroidissement, il se sépare de l'iodure rouge. Ensuite, crystaux en aiguilles, jaune.

L'eau décompose ces crystaux et l'eau mère de l'iodure rouge se précipite ; mais l'eau en retient toujours quelque soit sa quantité. Les crystaux font un hydriodate d'iodure.

Iodures doubles de mercure de potassium.

L'iodure de potassium dissout abondament à chaud l'iodure rouge de mercure ; par le refroidissement, la liqueur abandonne des crystaux cubiques, octaédriques, prismatiques d'iodure rouge de mercure.

On obtient ensuite des crystaux en longs prismes jaunes d'iodure double de mercure et de potassium.

2 iodure de mercure, 1 iodure potassium.

Les chlorures alcalins dissolvent iodure rouge mais le laissent précipiter entièrement par refroidissement.