mais voyons ce qui arrive à des températures élevées, à 100° par ex [exemple], pour l’eau.
La tendance des particules d’eau, disons la cohésion, est alors beaucoup plus faible ; La tension, au contraire beaucoup plus grandes ; conséquemment l’espace devrait approcher infiniment plus de la saturation qu’à la température 0°.
En continuant d’élever la température, on arriverait, comme dans les exp. [expériences] de Coignard Latour, à un liquide dont les molécules n’ont plus de cohésion ; sont indifférentes et ressemblent à de la poudre, et se confondent avec la vapeur par leurs transparences.
or, puisque l’espace doit être considéré à toutes ces températures comme saturé, il faut que la vaporisation soit indépendante de la cohésion
|